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Quelques RODRIGUE ou descendants de RODRIGUE connus

Malheureusement, le nombre de porteurs du patronyme RODRIGUE qui ont ou ont eu une certaine notoriété est assez limité. Nous voulons vous en présenter quelques-uns dans cette page, ainsi que d'autres personnalités apparentées à des RODRIGUE.

Si vous connaissez d'autres Rodrigue qui ont laissé leur marque dans la société, n'hésitez pas à nous communiquer leur nom et, si cela vous est possible, des détails les concernant.

 


Norbert Rodrigue

Norbert Rodrigue Norbert Rodrigue est un syndicaliste québécois qui a été très connu dans les années 1970. Il a été président de la Confédération des Syndicats Nationaux (CSN), une des trois plus grandes centrales syndicales au Québec, après en avoir dirigé la Fédération des Affaires Sociales. Il a ensuite dirigé le Conseil de la Santé et du Bien-Être (1997-1998) et il fut président de l'Office des Personnes Handicapées du Québec (OPHQ) de 1999 à 2006.

 


Jacques Michel (Jacques Rodrigue)

Jacques MichelMichel (né Rodrigue), Jacques. Auteur-compositeur-interprète (Sainte-Agnès-de-Bellecombe, près Rouyn, Québec, 27 juin 1941). À 16 ans, il chantait dans les cabarets de sa région, interprétant des chansons de Gilbert Bécaud, Charles Aznavour et Mouloudji, auxquelles il ajouta peu à peu ses propres compositions. En 1965, il participa à Montréal au spectacle de Muriel Millard à la Comédie-Canadienne et, la même année, il gagna le trophée de la chanson du Festival du disque avec « Je retourne chez moi ». Il chanta ensuite au théâtre de Quat'sous en août 1966, mais son talent fut vraiment reconnu avec la chanson « À cause d'une fleur » pour laquelle il obtint le prix spécial du jury au Festival de la chanson québécoise en 1969. L'année suivante, il gagna le Grand prix de la Communauté radiophonique des programmes de langue française à Spa, Belgique, pour sa chanson « Amène-toi chez nous », et un second prix au Festival international de la chanson populaire à Tokyo avec « Un nouveau jour va se lever ». Il donna par la suite de nombreux récitals, notamment chaque année au Patriote (1971-77) et au théâtre du Nouveau-Monde (1973) à Montréal, au Grand Théâtre de Québec, au CNA et à la PDA (1971, 1973, 1975, 1976, 1978, 1979). Il fit également des tournées dans les Provinces maritimes (1971-72) et en Ontario (1971, 1975, 1978). Il chanta au Saint Lawrence Centre de Toronto en 1972. En 1974, Jacques Michel fonda une maison de production et de gérance, les Productions Rojamic. Il participa à de nombreuses émissions de variétés dont « Zoom » (1973), « Vedettes en direct » (1974, 1976, 1978), « Dimanschowsoir » (1977) et « Les Beaux dimanches » (1978) à la télévision de la SRC, ainsi qu'à « Têtes d'affiche » (1977) à Télé-Métropole où il a aussi animé « Les Lauréats des découvertes » (1978, 1990, 1991). Jacques Michel quitta la scène en 1986 mais n'en continua pas moins à écrire des chansons pour Martine Chevrier, Nicole Martin, Johanne Blouin et Nathalie Simard. Il a également poursuivi depuis une carrière de concepteur et scénariste à la télévision. Il a notamment conçu et scénarisé, avec Nathalie Simard, la série pour enfants « Le Village de Nathalie ». Dans un langage tendre ou violent, les chansons de Jacques Michel évoquent l'amour, l'amitié, la liberté, la vie et l'enfance. Comme l'écrivait Benoît Lavoie dans Le Compositeur canadien, ses chansons « durent longtemps parce que cimentées avec son coeur et sa passion ». Plusieurs ont été enregistrées par Isabelle Aubret (en France), Julie Arel, Pauline Julien, Ginette Reno et René Simard.

Auteur Hélène Panneton

 

Source: L'Encyclopérie canadienne, http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=Q1ARTQ0002364

 

 


George Rodrigue (1944-2013)

George RodrigueGeorge Rodrigue était un peintre louisianais (il est né à New Iberia, en Louisiane) qui jouit d'une grande renommée aux États-Unis. Créateur du "Chien Bleu" (Blue Dog), il a produit plusieurs tableaux dépeignant la réalité louisianaise. Il a aussi accepté certaines commandites importantes, comme la réalisation de l'affiche officielle de l'inauguration du deuxième mandat du président Bill Clinton et du vice-président Al Gore. Vous pouvez visiter le site de George Rodrigue (en anglais).

 


Laurent Beaudoin
(fils de Pierre-Aurèle Beaudoin et Yvonne RODRIGUE)

Laurent BeaudoinLaurent Beaudoin, entrepreneur (Laurier Station, Qc, 13 mai 1938). Après un B.A. au Collège Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse, il obtient son diplôme de comptable agréé et une maîtrise en commerce à l'Université de Sherbrooke. Il y fera la connaissance de celle qui deviendra sa femme, Claire, fille de Joseph-Armand BOMBARDIER, l'inventeur, dans son atelier de Valcourt au Québec, de véhicules chenillés pour le transport sur terrain enneigé.

Laurent Beaudoin débute sa carrière à Québec en 1961 au cabinet de comptables Beaudoin Morin Dufresne où il se bâtit une clientèle pendant deux ans. Il se joint à l'Auto-Neige Bombardier, en 1963, à titre de contrôleur, devient directeur général, l'année suivante, et président, en 1966. Précurseur, il voit de l'avenir dans le sport de la motoneige et dès 1967, réoriente la firme.

En 1974, il amorce la diversification, dans le transport de passagers sur rail, grâce au contrat du métro de Montréal, suivi de ceux du métro de New York et du tunnel sous la Manche. En 1986, il manoeuvre l'entrée de Bombardier dans l'aéronautique, par l'acquisition de Canadair, à Montréal, suivie de celles de Learjet aux États-Unis, de Havilland en Ontario et Shorts en Irlande du Nord. Bombardier devient le troisième constructeur de l'aviation civile, derrière Boeing et Airbus, multipliant les lancements, sur des marchés en pleine mutation, d'avions régionaux et d'affaires plus confortables.

Laurent Beaudoin siège à plusieurs conseils d'administration et a reçu de nombreux prix et doctorats honorifiques. Il est compagnon de l'Ordre du Canada (1989) et officier de l'Ordre du Québec (1990). En avril 1992, la Chambre de commerce internationale lui décerne le titre de l'homme d'affaires international de l'année pour le Canada et, en octobre, le World Trade Institute l'intronise au World Trade Hall of Fame. Récipiendaire de nombreux prix nationaux et internationaux, Laurent Beaudoin s'est mérité entre autres le "Prix d'excellence pour l'ensemble de ses réalisations" (octobre 2000) décerné par Ernst & Young au Québec, le prix de "L'ensemble de la carrière en entrepreneurship" décerné par la Fondation canadienne des jeunes entreprises. Depuis juin 2000, Laurent Beaudoin siège au comité consultatif de Lazard Canada et depuis 2003, il occupe le poste de président du conseil d'administration de Bombardier Produits Récréatifs Inc.

Auteur LAURIER CLOUTIER Réviseure : MYRIAM FONTAINE

Source: L'Encyclopérie canadienne, http://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0009309

 


Joseph Bolduc (1847-1913)
(fils d'Augustin Bolduc et de Louise RODRIGUE)

Joseph BolducReconnu pour sa cordialité, son hospitalité et son sens de l’équité, l’honorable Joseph Bolduc fut président du Sénat du 3 juin 1916 au 6 février 1922. Il est un des très rares présidents à avoir été forcé de « désigner un sénateur par son nom » ou de le menacer d’expulsion.

Joseph Bolduc naquit le 22 juin 1847 à Saint-Victor-de-Tring, dans la Beauce, au Québec. Il fit ses études au Collège Sainte-Marie et à l’Université Laval dont il obtint un diplôme en notariat en 1874. Toute sa vie, cependant, il fut un homme d’affaires prospère, un agriculteur et un politicien.

Joseph Bolduc était un membre actif et populaire de sa collectivité. En raison des efforts fructueux qu’il déploya pour promouvoir la liaison ferroviaire entre Saint-Victor-de-Tring et le reste de la province, les Provinces maritimes et la Nouvelle-Angleterre, et de sa participation active à de nombreuses entreprises locales, notamment à la compagnie de téléphone, il fut élu maire de sa paroisse et, par la suite, préfet du comté de Beauce. Mais son désir de servir ses concitoyens le mena encore plus loin.

En 1876, deux ans après sa sortie de l’université, il fut élu lors d’une élection partielle comme député conservateur de Beauce à la Chambre des communes. Réélu aux élections qui suivirent avec des majorités toujours plus fortes, il siéga aux Communes jusqu’en 1884. Sa popularité était telle que lors des élections de 1882, deux électeurs seulement votèrent contre lui dans sa paroisse et les deux paroisses voisines.

Joseph Bolduc quitta la Chambre des communes le 3 octobre 1884 pour siéger au Sénat. Comme sénateur, il se distingua rapidement par les efforts qu’il déploya pour améliorer les relations entre les Canadiens des diverses régions et entre les provinces du pays et par son appui au projet de loi sur la marine. Nommé à la présidence du Sénat le 3 juin 1916, après la démission de l’honorable sénateur Landry, il occupa ce poste pendant toute la législature suivante. Comme son prédécesseur, il constata que les questions soulevées pendant les années de guerre suscitaient des débats d’une vigueur inhabituelle au Sénat. Aucune affaire ne fut plus controversée ni ne suscita de discussions plus vives et plus passionnées que l’adoption et l’application en 1917 de la Loi sur le service militaire. Dans l’espoir de retarder la conscription au moins jusqu’après des élections générales, le sénateur Choquette avait présenté une motion portant dépôt de documents et, dans le débat qui avait suivi, il avait été prévenu que ses arguments étaient propres à susciter l’agitation dans le pays et l’opposition à l’application de la loi. Comme il poursuivait sur sa lancée, le président le menaça de le désigner par son nom et lui ordonna finalement de reprendre son siège. Ce n’était pas prévu dans la procédure et on ne savait trop si le sénateur Choquette avait été désigné par son nom pour avoir été irrévérencieux à l’endroit du Sénat ou du président, mais il n’y avait aucun doute dans l’esprit de ce dernier que l’honorable sénateur avait été désigné par son nom. Dans ce cas-là comme dans d’autres débats où il y eut infraction au Règlement, le sénateur Bolduc réussit à rétablir l’ordre sans qu’il soit nécessaire de présenter une motion de suspension.

À sa mort, le 13 août 1924, le sénateur Bolduc était l’un des derniers parlementaires dont on pouvait dire qu’il avait été le contemporain, l’ami ou le conseiller de tous les premiers ministres depuis la Confédération, depuis le très honorable sir John A. Macdonald jusqu’au très honorable Mackenzie King.

Reproduit avec permission, Library of Parliament / Bibliothèque du Parlement

Source: Les Présidents du Sénat, http://www2.parl.gc.ca/Sites/LOP/Speakers/Sen/index.asp?Language=F&param=1&id=1af76c37-20ef-4449-a23f-7007cd2a0af8

 


 

Réal Rodrigue

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